Dans le cadre de leurs
travaux sur la place des femmes, et suite à un premier volet sur les mères qui
travaillent, l’institut CSA et Terrafemina lancent “WAD : Working Dads,
l'articulation des vies personnelles et professionnelles”. Bilan : 30 % des
pères actifs se déclarent tentés par le temps partiel.
L’étude de l’institut CSA et Terrafemina “WAD : Working Dads, l'articulation des vies personnelles et professionnelles” et réalisée avec la participation de Brigitte Gresy, experte des questions d’égalité professionnelle hommes-femmes, a pour objectifs d’établir un comparatif des pères et des mères actifs sur des indicateurs clefs et d’identifier les attentes, les sources de satisfaction ou de frustrations des pères dans leurs vies professionnelle et familiale.
Paternité et vie professionnelle
Les résultats de l’étude confirment que l’impact de la parentalité n’est pas le même pour les pères et les mères : alors que seuls 19 % des pères actifs ont le sentiment qu’être père rend difficile l’évolution professionnelle, elles sont 57 % des mères actives à partager cet avis.
Peu de temps partiels
S’ils montrent une réelle envie des pères qui travaillent de consacrer plus de temps à la vie de famille, ils ont pourtant peu recours aux dispositifs comme le congé parental ou le temps partiel. 30 % des pères actifs seraient tentés par le temps partiel s’ils en avaient la possibilité mais ils ne sont en réalité que 4 % à avoir fait ce choix. Parmi les freins, au-delà d’éventuels arbitrages financiers, près d’un père actif sur deux estime que prendre un temps partiel serait mal perçu par l’entourage professionnel.
Plus que le temps partiel, les solutions plébiscitées par les pères actifs sont les dispositifs qui permettent de moduler le temps de travail et de consacrer ainsi plus de temps à la famille sans porter atteinte à la vie professionnelle. Les aménagements horaires sont ainsi évoqués pour 63 % des pères actifs et le développement du télétravail par 46 % d’entre eux.
L’étude de l’institut CSA et Terrafemina “WAD : Working Dads, l'articulation des vies personnelles et professionnelles” et réalisée avec la participation de Brigitte Gresy, experte des questions d’égalité professionnelle hommes-femmes, a pour objectifs d’établir un comparatif des pères et des mères actifs sur des indicateurs clefs et d’identifier les attentes, les sources de satisfaction ou de frustrations des pères dans leurs vies professionnelle et familiale.
Paternité et vie professionnelle
Les résultats de l’étude confirment que l’impact de la parentalité n’est pas le même pour les pères et les mères : alors que seuls 19 % des pères actifs ont le sentiment qu’être père rend difficile l’évolution professionnelle, elles sont 57 % des mères actives à partager cet avis.
Peu de temps partiels
S’ils montrent une réelle envie des pères qui travaillent de consacrer plus de temps à la vie de famille, ils ont pourtant peu recours aux dispositifs comme le congé parental ou le temps partiel. 30 % des pères actifs seraient tentés par le temps partiel s’ils en avaient la possibilité mais ils ne sont en réalité que 4 % à avoir fait ce choix. Parmi les freins, au-delà d’éventuels arbitrages financiers, près d’un père actif sur deux estime que prendre un temps partiel serait mal perçu par l’entourage professionnel.
Plus que le temps partiel, les solutions plébiscitées par les pères actifs sont les dispositifs qui permettent de moduler le temps de travail et de consacrer ainsi plus de temps à la famille sans porter atteinte à la vie professionnelle. Les aménagements horaires sont ainsi évoqués pour 63 % des pères actifs et le développement du télétravail par 46 % d’entre eux.
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